Et voila, ça commence…

L’arrêt maladie c’est un peu comme le chômage, sauf qu’on à le droit de sortir qu’entre 15 heure et 18 heure (outre les rendez vous médicaux). Ainsi on fini forcement par tourner en rond. Et en ne faisant quasiment rien de sa journée il arrive la conséquence classique: on arrive pas à dormir le soir.

Effectivement même si ne rien faire ça fatigue (je vous raconte pas la flemme et le nombre de bâillement dans la journée) il n’empêche qu’au coucher on ne s’endort pas. Et c’est ainsi que commence le fatidique engrenage du « je m’endort tard, je me lève tard, je m’endort encore plus tard, je me lève encore plus tard« .

Heureusement que je dois sortir voir l’infirmière tout les jours à onze heure parce que ça friserait vite le réveil à midi. Tout ça parce qu’un soir j’ai voulu absolument finir la « Chartreuse de Parme » et que je me suis endormie qu’a 4heure du mat » (je voulais pas me couper l’action :p). Foutu Sthendal, tout ça c’est ta faute!

Donc voila, il n’est qu’une heure du matin mais je suis complètement affairée à ranger, encartonner, et boire du buble-cerise parce que de toute façon je suis en pleine forme et que dés que la nuit est tombé je me suis sentie débordante d’activité.

Il y a deux ans j’ai eut 6 mois d’arrêt maladie, et même topo, j’avais fini par décaler complètement mon rythme de vie. Je me sentais flemmarde le jour et retrouver une pêche d’enfer dès le crépuscule. Alors là, coincée toute seule pendant le mois à Grenoble je vais très vite viré la noctantropie. Le jour en tournée médicale et bloquée sur le pc, la nuit en pleine activité…

Faut vraiment que je me sorte de là…