Bon voila, ça y est, je le vis désormais tel quel…

Je marche dans des rues bondée de monde, je navigue entre ses esquifs humains dans lesquels je ne dois pas m’échouer, je slalom entre les nuages de fumée jetée par les fumeurs, je prend le métro ou je me heurte à la déchéance de mes condisciples humains…

La ville ici est emplie d’odeurs et de bruits. le graillon alterne avec la fumée de cigarette et des pots d’échappement. Les cris d’un enfant alterne avec le hurlement d’un homme au téléphone. La misère d’un clodo crachant ses poumons alterne avec le bobo regardant son i_phone.

Heureusement, il fait beau temps, ça me permet d’appréhender plus facilement la cohue qui s’impose à mes cinq sens. Heureusement le choupi est là pour m’aider à appréhender le milieu, et les amis sont là pour en digérer l’amertume.

Finalement c’est plus dur de revenir vivre à Paris après avoir retrouver la province. Le pire c’est que j’ai l’impression de ne faire que dépenser…