Après l’article sur le refuge Décan, cela m’a fait penser que depuis qu’on est là, on a pu apercevoir des tas de bestioles plus ou moins colorées. On en a déjà parlé, mais cette fois ci j’ai des photos, alors bam, recyclage mine-de-rien-ni-vu-ni-connu-rien-dans-les-mains-rien-dans-les-poches-hop-magie.

Les plus répandues sont les chèvres, il y en a partout.

Il y a aussi les moutons locaux qui les accompagnent, la race qu’on voit surtout en Afrique et qui sont plutôt moches vu de près.

Suivent de très près les corbeaux (une vraie plaie à Djibouti).

On a vu aussi pas mal de chiens errants mais ils commencent des campagnes d’abattage car il sont trop nombreux et deviennent dangereux.

On a aussi croisé des dromadaires et des ânes domestiques. On peut encore voir, du moins il paraît, quelques ânes sauvages vers le lac Abbé mais on ne va pas avoir le temps de s’y rendre.

Par contre, ce qui ravit Antoine c’est qu’on voit des piafs à profusion, malgré la présence très importante des corbeaux qui remplissent un peu toutes les niches écologiques. On a notamment pu voir des guêpiers et des tisserands.

Sans les prendre en photos on a aussi vus des ibis, des hérons, des moineaux africains, des tas de pigeons différents, la liste est longue donc on ne va pas vous tenir la patte avec ça. Sans compter qu’on manque pas d’oiseaux de mer mais qu’on est nul pour les reconnaître.

Ce qui nous reste à voir maintenant c’est le monde sous marin. On a sorti pas mal de choses lors de la nuit de pêche, mais quitte à être au bord de la mer rouge on a prévu deux séances de plongée (une avec bouteille et une en masque-tuba). Je ne vous cacherai pas que moi, j’attends ces moments avec impatience, même si j’ai souvent peur des –gros- poissons.