C’est vrai ça, on va entrer dans le mois d’aout demain et la majorité du peuple est en vacance. La blogosphère sent les vacances à plein nez et on se retrouve là devant l’écran à se demander ce qu’on va bien pouvoir raconter.

Il faut toujours trouver le petit truc qui va rendre l’article intéressant, un sujet plus ou moins original et les mots qui rendent le mieux vos idées. Mais au final qu’est ce que ça va faire?

Rassurez vous je ne suis pas en crise de justification du blog. Ce blog c’est « ma bataille » de tout les jours, un jeu parfois fatiguant, souvent exaltant mais qui trouve toujours un intérêt et une justification chez moi.

La ligne éditoriale joue aussi au yoyo et les lecteurs viennent et repartent au gré de leur intérêt de lecture. Parfois ça me chagrine pour certains mais dans majeure partie des cas je n’en ai même pas conscience à cause de l’anonymat des statistiques.

J’ai fini par apprendre à garder ce blog pour moi et à ne tenir compte de l’avis du « lectorat » uniquement si cela me chante. Parfois j’ai fait des boulettes en n’écoutant pas ces voix et d’autres fois je fait la boulette de trop leur prêter attention. D’où ma position actuelle de faire comme ça me chante mais en respectant l’avis qui est rendu en commentaire.

Mais maintenant… que vais je vous dire aujourd’hui? Que j’ai mal aux fesses à force d’être posée sur ce tabouret inconfortable mais qui m’oblige à me tenir droite? Que je dois retourner à Darty au milieu des freaks pour aller échanger une chaine hifi qui s’est mis à fumer quand je l’ai branché?
Ou que je n’ai rien d’autre à vous dire que les cinq premiers paragraphes de ce billet qui sont aussi courts que sincères et issus d’une réflexions de 5 ans de blog?

Allez… tâchons de ne dire/lire que ces cinq paragraphes qui me semblent être la plus simple attitude de ce blog.