J’ai rêvé de plaines verdoyantes, à la couleur émeraude internissable.

J’ai rêvé de tranquilles ruisseaux, qui glougloutent sans agacer.

J’ai rêvé de forêts foisonnantes, où retentissent des pépiements intarissables.

J’ai rêvé de montagnes en blanc manteau, qu’entoure une brume éthérée.

Où était-ce ? Je ne sais plus.

Surement l’un de ces tableaux qui n’existent plus

contés dans quelque page d’un roman déchu.