Ca commençait bien, et ça finit très très très mal…

En effectuant une sauvegarde de ma base de données ce matin à 11 heure, pour pouvoir faire des modif sur le blog, je pensais assurer mon coup.

En utilisant cette même sauvegarde pour pallier aux erreurs de manip que j’ai fait, j’étais rassurée de ma prévoyance.

Mais en constatant 5 minutes plus tard que la sauvegarde en question remontait à janvier, j’ai été effrayée.

Et quand j’ai constaté que toutes mes sauvegardes des deux derniers mois remontaient aussi à janvier j’ai été anéantie.

A l’heure actuelle il ne me reste aucune base de données de la période février/mai : plus d’articles, plus de commentaires, et plus aucuns des 14 billets que j’ai terminé pour la semaine qui arrive.

Je crois que je vais me jeter sous un train et je reviens

Edit post traumatique :

  1. J’ai compris d’où vient le problème : les sauvegardes se faisaient à partir d’une ancienne base de données condamnée
  2. Je sauve les meubles : j’ai retrouvé les articles par le flux RSS et je devrais pouvoir récupérer une partie des commentaires par les mails, mais tout est à faire en manuel et il y en a donc pour une bonne semaine de travail
  3. C’est un désastre, je n’ai aucune copie de secours pour les articles de la semaine anniversaire… je crois que je vais chercher plutôt un bus pour me jeter dessous…

Edit’ du soir et crise de nerf :

Je ne suis pas passé sous un train et pourtant :

  1. Des bases de données extraites des sauvegardes automatiques de mon hébergeur, il n’y a aucune différence entre celles de maintenant, d’hier, et d’il y a une semaine. Aussi bien sur la nouvelle base de données que sur l’ancienne.
  2. Depuis une heure, sans que je sache pourquoi, je n’ai plus la « permission » d’accéder à mes bases de données ; donc pas moyen d’aller modifier le nom de la nouvelle base histoire d’être sûr de l’identité des bases que je télécharge lors de ces manips…
  3. OVH a trouvé moyen de planter 2 fois pendant que je cherchais les sauvegardes qui me sauveraient
  4. Dès que je me mets au travail pour réécrire les textes de cette semaine, je me contente de lancer une bordée de jurons et de vouloir mordre mon clavier. Au pire vous aurez quand même le premier concours demain après midi mais j’espère un miracle entre temps…
  5. J’ai déjà contacté la hotline et je l’attends de pied ferme au téléphone dès  demain 8 heure. Pourtant je ne m’attend guère à une réponse avant 10 ou 11 heure, donc je risque d’être irritable. S’ils me sauvent je vais virer au bisounours, sinon… euh… évitez de me croiser…