Je n’aime jamais tant Paris que lorsqu’il n’y a pas de parisiens !

Fini la foule, fini la rumeur toujours grondante, moins de bruit, plus de lumière; on se croirais enfin chez soit.

Certes, Paris au mois d’août ce n’est pas non plus le meilleur moment. Trop de choses fermées, trop d’habitudes à modifier.

Mais un Paris aux vacances de printemps, c’est comme une mégalopole à qui l’on redonnerait des airs de province, des quartiers à l’échelle de nouveau humaine.

Partez amis parisiens, je saurais occuper vos pavés pendant que vous n’êtes plus là !  😉