(Au son de la nuit)

Une odeur de chèvrefeuille qui flotte dans l’air, un jour qui se voile pour laisser place à la nuit, quelques pas pour regagner chez moi…

Epanouie ; mon existence expire lentement dans une aura de contentement.

La crémaillère n’aurai pas pu mieux se passer, le dragon Vérité repose dans le jardin de pierres et Fitz vit enfin en paix, mon homme somnole sur le lit, la maison a presque retrouve son lustre, le chat ronronne, la gaz siffle doucement sous le repas, et la nuit prend possession du ciel.

Epanouie.