C”est extremement simple et pourtant tres compliqué comme question. C”est comme lorsque vous êtes perdu. Vous savez que vous êtes là, un endroit precis avec un paysage en vue, que vous êtes sur terre, sur un continent et une region precise. Mais où precisment, vous l”ignorez.

Et bien voila, je suis là, apres les aveux et dans la souffrance. Je sais que je suis dans ma vie, à la fin d”une epoque et en plein dans une evolution mais … savoir où j”en suis dans ce changement m”est imopossible.

Je peut m”assoire en attendant que qqch m”apprenne où je suis, je peut avancer dans une ou plusieurs directions pour voir ce qui s”y trouve, ou encore je peut arpenter la zone où je me trouve à la recherche d”indices.

Ces indices c”est deja en partie trouvé. Beaucoup de verités se sont revelées, ou plutot de mensonge.

C”est etrange de voir quelle inconnue on a pu incarner pendant trois si longues années. C”est aussi bizarre de vouloir identifier ce qu”on est vraiment; comme si on pouvait le savoir.

Mais c”est une telle legerté d”abandonner ces encombrontes et si mensongéres questions théoriques pour ne laissez place qu”au laissez vivre.

Apprendre au contact de ce que l”on est sans containtes.

Les choses apparaissent alors clairement et ne donne plus necessité à l”analyse.

C”est comme jeter un pavé de boue et de terre dans l”eau. Les choses se delayent et ne reste que ce qui est.

Qu”est ce qui est?

Moi. Les illusions de ce que je souhaitais sans savoir que ce n”etait pas mes souhaits. L”enveloppe poignardée d”une quelqu”une que j”ai incarné sans pouvoir l”assummer par moi même. Des convictions sur ma force mais aussi mes blessures. L”Amour aussi mais pas au sens trivial que certains ne sont pas capable de depasser. La Foi, enfin, mais de ça je ne parlerais pas car plus que l”Amour, c”est un eïdos qu”on ne peut apprehender si on ne l”a pas connu et c”est en devoyer le sens que d”essayer.

Plus concetement où suis je?

Et bien je l”aime, c”est toujours une certitude et c”est un don qui n”a rien à voir avec un avilissement.

Je me ressent comme jamais et ce n”est pas le mensonge que certains imaginent.

J”attend enfin, tout en vivant, que les verités apparaissent sans essayer de les contraindre.

Car je ne veut plus de faux semblants. J”aspire aux verités même si elles font mal.

Si l”evolution est là , si la renaissance s”en vient, le prix à payer en est deraissonable, meme si necessaire.

La souffrance vous harcele et malgres la force qui est en soit elle reussit encore à vous submerger. Ce n”est pas parcequ”elle est acceptée qu”elle passe.

Ce n”est pas non plus en reconnaissant ses erreures et mensonges qu”elle vous epargnera.

Il n”y a que le temps pour venir à votre secour, le temps et la verité.

Beaucoup de choses sont mortes, la pluspart sont depassés.

Ce n”est pas une renaissance, c”est une subjugation.

Et il est doux ce superlatif, il apporte un calme, une paix que je souhaite de connaitre à tous.

Ce n”est pas un oublis, ni un denit ou meme la douce anetsthesie d”une drogue c”est…

Se laisser devaster par la vie? Ca n”a pas plus de sens que les lames que j”appellais et qui reviennt regulmierment jouer les sirénes.

Ma vie est ce que je souhaite et à tout moment j”ai le choix de prendre le chemin que je veut malgrés les aléas que je ne peut controler; et sur lesquels je ne veut plus tenter d”avoir du pouvoir.

Je laisse faire les chose. Du moins, je lui laisse faire le point sans plus essayer d”analyser ce qu”il vit, sans me poser face à lui en doctorisantr ses faits et ses souffrances. Même si j”ai peur.

“Il n”est pas le premier prix d”une tombola” et encore moins l”abandon auxquel j”esperais.

Mais il n”en est pas moins aimé et desiré.

Je ne permets pas aux gens de me reconforter parceque personne n”est à ma place et encore moisn à sa place. Personne ne peut nous guerire ou nous apprendre à faire ce qui est mieux pour l”un comme pour l”autre.

JE suis la seule à pouvoir dire en pesant vraiment mes mots. Et je dis que je veut continuer à vivre à ces coté et à partager.

Si chacun se fait son avis sur la question je prefere ne pas entendre ce que la plupart affabulent faute de ne comprendre vraiment ce qui se passe.

Et je crache au visage de ceux qui veulent contraindre, ceux qui disent ce qui est mieux pour nous, ceux qui s”imaginent savoir qu”on fait des erreures et qu”on se leurrent. Vous n”êtes pas à notre place et ces jugements ne sont que des reflets egoistes et possessifs. Même si vous pensez le contraire, laissez nous faire nos choix, vous ne faites que retarder la verité.

Je ne regrette pas les verités devoilées, je regrette qu”il faille tout ce sang et ses larmes pour m”ouvrire les yeux sans savoir quel sera l”apres… Mais je suis moi même, et ce pour la premiere fois depuis si longtemps que je me sens la force de reprendre ce que j”ai entrepris. Une chose qui prend, en ces jours ,une forme differente mais bien plus prenante.

J”aie mis ici tous les textes que je censurais ailleurs.C”est la mort temporaire de ce blog. Parceque je n”ai plus besoin de lui et que … je n”est plus besoin de vous