Des pleurent pour tout la nuit, les nerfs qui lachent et cette englobante solitude qui vous vrille toutes pensées et s”epenche sur vos epaules.

Quelques regards et quelques mots le matin. Savoir que la verité est là, qu”il n”y aura toujours pas d”une solution miraculeuse. Mais il est là pour l”heure alors qu”il aurrait pu partir hier.

Il m”en veut, je lui en veut, mais pourtant on est ici..

Le vent sur la peau, des costumes colorés sous les yeux, un jeu de frisbee si detendant, une main serrée dans la rue. Pas une seule pensée pour ternir cette matinée.

Jusqu”au moment du depart. Mais je ne souhaite pas m”y pencher. je crois comprendre.

Ce soir ce sont de nouvelles heures de solitude. Mais apres la Cassandre de ces derniers temps, c”est une paix offerte.

Apres la folie de cette nuit c”est un cadeau de calme et de dialogue silencieux. Une chose demandée pour hier et qu”il avait accepter.

Je regarde le serpent dans le miroir. Les moires egrainent les heures, les minutes, les secondes. Tandis que la folie me guette dans son coin je me sens froide, droite et sûre de mon choix pour ce soir.

Pas de Cassandre, pas de Penelope, ni aucune de ces figures poussiereuses qu”on se voudrais rassurante.

Moi, le serpent et les froides tenebres de la solitude.

*fait la nique*

Même pas peur,

enfin, presque