I’m a witch, parce que j’y crois

I’m a witch parce que je le sens

I’m a witch parce que je me ressens

I’m a witch parce que j’écoute

I’m a witch parce que je ne le dis pas toujours

I’m a witch parce que voila.

 

Sans faire dans la mauvaise poésie, je suis une sorcière parce que ça :

  ça me dit quelque chose.

 

Je suis une sorcière parce que le rythme des saisons je le vis. 

 

Je suis une sorcière parce que, plus que païenne, je suis aussi sorcière.

Parce que si j’écoute, il m’arrive aussi de dire.

Parce qu’il n’y a pas à écouter le chant ou l’imposer. Il ne peut y avoir qu’un dialogue, et ce même si l’on ne parle pas toujours avec la même force.