Lors de la montée de Leoncel (voir note de la veille) j’avais commence a développer une douleur a l’aducteur de la jambe droite. Douleur au début assez diffuse mais qui a décide de se rappeller a mon bon souvenir une fois la pause au Grand Echaillon terminée. Car entre temps les muscles se sont refroidis…
Toutefois, comme il ne restait que 7 kilomètres annonces avec 2 heures de trajet, la douleur ne m’inquiétais pas.Le chemin était plutôt plat et traversait des prairies, des sapinières, ou des petites vallees qui rendaient le paysage bien sympathique.
Or, arriva le moment ou le chemin arrêtait d’être plat. Un panneau nous a mis la puce a l’oreille en annonçant 4kilometres restants a faire en … 1h10.
On a commence a descendre, descendre et descendre. Et plus on descendait et plus j’avais du mal a avancer et plier ma jambe droite. Le panneau suivant nous annonçait encore trois kilomètres pour 50 minutes… Plus ça allait et plus la distance restante semblait s’accordait du crédit de temps!
Au final entre le Grand Echaillon et Bouvante le Haut (notre étape du soir) on a mis bel et bien trois heures entrecoupe de gros mots, douleurs et ras le bol de “ses pentes a 70% qui ne veulent pas en finir”. On est arrive fin morts au gîte en espérant une baignoire (qu’evidament il n’y avait pas).
En discutant avec notre hôte on a toutefois eût la surprise de s’entendre proposer les clefs de la piscine et l’on a pu barbotter pendant une heure dans l’eau chaude en face des montagnes grace a la vue offerte par lovées la baie vitrée.
Par contre après un repas animes avec un guide de la région et une nuit douloureusement passée (douleur a la jambe droite), il a fallu se rendre a l’évidence… La douleur est belle et bien une blessure.
En discutant de cela au petit dejeuner avec le guide rencontre hier il a été décide qu’on ralirais La Chapelle en voiture grâce a sa copine (rencontre la veille aussi).
Après consultation du médecin, il s’avère que j’ai une dechirure de l’adducteur. Mon chéri n’est plus seul a m’interdire la marche ; le docteur se range de son côte et m’impose le repos. Encore une fois je dois écouter des gens raisonnable, je hais ce mot frustrateur…
Il est 12h30, je me venge sûr une assiette conséquente de chacuterie et ravioles, il faut qu’on se trouve un plan B…
En plan B, je propose boire, manger et se reposer !
Bon rétablissement et bonne fin de vacances
Bah dis-donc, sympa les vacances, surtout quand on pense que c’est que le début! Dans ces cas là, pas grand chose à faire si ce n’est comme dit Cilou manger et boire! 😉
Se faire une déchirure musculaire juste pour ne pas passer me voir, c’est quand même un peu exagéré, mais bon.
C’était pour nous un déchirement que de ne pas te voir Niouk.