S’il fallait raconter quelque chose qui résume les plaisirs du voyage, je vous parlerais de ce moment où la porte du train/de la voiture/de l’avion s’ouvre et que l’on hume cet air qui n’est pas celui d’où l’on vient.
L’odeur iodée et légère des pays de la mer, la fraicheur neutre et vivifiante des montagnes, l’odeur végétale et terrienne de la campagne…

Ces saveurs qui n’en sont pas ont le don de vous faire comprendre que « ça y est » on a changé de paradigme.
Et le premier plaisir du voyage, c’est ça : humer, sentir, regarder et se dire que ce n’est que le début