Rien ne sert de courir mais pourtant; quelque chose m’a appuyé sur le haut du crane et me force à regarder vers l’avenir. Et le résultat en est beurk bof…

J’ignore ce que je veux et comment.
Je sais juste qu’en septembre des tas de choix s’offrent.
Et c’est loin septembre, mais là c’est peut être la désertification grenobloise qui fait ça… bandes de lâcheurs :p

Bref….
on en reviens à l’horrible problème de l’automne dernier: c’est chouette la liberté mais c’est quand même drôlement lourd a porter quand on à de multiples choix, voir pas d’impératifs du tout.

Et c’est surtout très lourd de  se poser des question sur ce qui se passera alors qu’on ferait mieux d’apprécier le présent immédiate.